Les aliments ultra-transformés dans la file d’attente d’un classement unique


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    Aliments ultra-transformés (AUT) à haute pression. Et pour une raison quelconque : elles sont implicites dans la survie de certaines jeunes chroniques. Problème, la définition de cette AUT fait débat.

    Selon une conception des aliments ultra-transformés (AUT), qui sont des invitations dans nos supermarchés et cuisines en faveur d’une modification de notre mode de vie, la police régule l’objet d’étude qui tend à montrer que ces produits sont potentiellement importants pour notre santé .

    Appliquer pour ces herbes concurrentes, les recommandations nutritionnelles des pouvoirs publics nous invitant à en réduire la consommation. En résumé, notre pension alimentaire a le privilège d’être « fait maison » aux dépendances de ces plats industriels, que representent aujourd’hui plus de 30 % de nos contorts caloriques quotidiens, et jusqu’à 60 % dans certres autres pays, comme le Royaume- Uni.

    Un problème de caractérisation des aliments

    Vous cherchez juste un aliment ultra-transformé ? C’est justement ce qu’a voulu dire l’Institut national de recherche agronomique, alimentaire et environnemental (Inrae), outre les modalités d’utilisation des modes d’utilisation pour orienter les élèves vers la vie avec l’impact de la prise en charge sanitaire de ces produits, dans une question de robustesse.

    En réponse, qui peut lire un recueil d’articles parus dans le numéro de juin Caches de Nutrition et Diététiquecatégorique : les sistèmes de classement actuels des aliments selon leur degré de transformation sont insuffisants, à commencer par la classification NOVA, utilisée dans plus de 95 % des cas, et sur laquelle se base la France pour smatérer qu’un aliment est ultra – transformé.

    « Aujourd’hui, il n’existe pas de définition précise et solide permettant de déterminer la manière et la robustesse dont il s’agit d’un aliment ultra-transforméconfirme Véronique Braesco, directrice de recherche honoraire à l’Inrae, responsable de VAB-Nutrition, cabinet de conseil en nutrition, et co-auteur de l’étude. Il y a surtout un problème de caractérisation de ces aliments, avec des appréciations assez variables, selon les experts.

    Les ambiguïtés qui posent question

    L’ambiguïté parcourt un certain nombre de notions-clés de l’alimentation, à commencer par tout ce qui touche à la transformation. « S’il y a des exceptions au fruit dans lesquelles sur va croquer, les aliments que nous consommons sont subsumateurs d’une transformation minimale (explosion, cuisson, extrusion, etc.) : c’est ce que nous consommons et consommons, note Véronique Braesco. Ensuite, on confond souvent transformation et formulation, soit l’assemblage d’aliment dans une même recette, ce qui va de la ratatouille à un plat gorgé d’additifs.”Encore faudrait-il faire le tri entre les additifs.

    Fait, l’étude relate un certain nombre d’aberrations. Un exemple, la torréfaction du café. « Certaines méthodes traditionnelles peuvent être très agressives, et transformer les avantages des matériaux premium, générant par le choix de compositions qui ne sont pas pour une bonne résistance, explicite Véronique Braesco. C’est justement la maison du tourment qui expose directement au café du feu”. Bon, attention à ne pas trop projeter d’idées »,une question qu’il peut faire avec le système NOVA qui généralise trop”, Nous sommes l’expert.

    Pour trouver quelqu’un qui veut cet acronyme d’AUT, il sait rétrospectivement épurer les ingrédients du packaging, les méthodes de commercialisation et de commercialisation, etc. bref une sorte de fourre-tout.

    PAS de régimes, OUI to WW !

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    Ceci est basé sur la capacité à mener des études dans cette catégorie, par divers moyens de compression, et à faire attention. Il ne s’agit pas de faire table rase de l’existant, assure Véronique Braesco : «Vous pouvez profiter de votre cuisine au soja, pour les régimes nutritionnels et commerciaux. En revanche, il a su être moins rigoureux que tous les produits industriels. C’est l’idéal parfait pour nous d’avoir un jardin et un jardin, mais c’est utopique. Ce qui est intéressant c’est qu’il est important de pouvoir fabriquer un produit qui se transforme pour disqualifier, et ne pas passer la qualité nutritionnelle”.

    Enfin, nous n’avons pas tous les moyens, et/ou le temps nécessaire, de nous passer de certains de ces produits industriels. C’est aussi un don à prendre en compte. Concert, Véronique Braesco Conseil, «prendre le Nutri-Score, résultat d’un profil nutritionnel basé sur des données scientifiques, suivre les recommandations du Programme National Nutrition Santé (PNNS) et envisager un produit qui contient une liste d’ingrédients long du soutien-gorge”.




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