Enquête nationale sur la nutrition : Environ 29% des Marocains sont obsédés


Enquête nationale sur la nutrition : Environ 29% des Marocains sont obsédés

47% des enfants de 6 à 59 ans moins d’anémie

Le Ministère de la santé et de la protection sociale a développé les résultats de son enquête nationale sur la nutrition. La station balnéaire de cette enquête que l’obésité de la terre du Maroc. Elle progresse plus rapidement en milieu rural. Selon les principaux indicateurs de cette enquête nationale 2019-2020, 28,4% des Marocains sont obsédés. Ce taux est plus élevé en milieu urbain que rural avec respectivement 32% et 21,8%. Parmi les facteurs en cause décrivant la malbouffe, la malnutrition, la sédentarité, le manque d’activité sportive… La modification des habitudes alimidous aussi un facteur aggravant (snacks, fast-foods,…).

Selon l’OMS, l’obésité entraîne ent une série de maladies non transmissibles, telles que le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, l’hypertension et les accidents vasculaires cérébraux, diverses formes de cancer, ainsi que des problèmes de santé mentale . 3 118 hommes sur cette enquête. Le nombre de femmes enquêtées s’élève à 2 286, les enfants de 6 à 59 ans (864) et les enfants de 6 à 12 ans (1 224). L’enquête du ministre de la Défense indique que 29,2% des femmes sont en surplus. Ils ne sont pas 2,3% des plus grands (1,7% en milieu urbain contre 3,3% en milieu rural).

Outre la prévalence des micronutriments lors de la prise de micronutriments chez les femmes de procréation, l’enquête indique que 34,4% sont présents dans l’anémie, 30,3% dans les brûlures d’estomac, 11,7% dans un acide folliculaire et 31,3% ont un temps de sevrage en vitamine D. Au passage , le ministère de la Santé est dans l’enquête auprès de 3,2% des enfants âgés de 6 à 59 ans, et 9,5% sont malades. Un seul jour, 14,2% présents et attardés (modernes ou nordiques). Le retard de la crucifixion est un certain nombre de facteurs à long terme dus au manque de protéines protéo-énergétiques et chroniques, aux infections fréquentes, aux pratiques d’alimentation inadéquate à long terme et à la mauvaise pauvreté. Sélectionnez la seule enquête, dont 3,1 % sont en sous-poids (4,4 % en milieu rural contre 2,1 % en milieu urbain).

2,4 % risquer d’émaciation, c’est-à-dire une perte de poids sensiblement en dessous du poids normal d’un enfant de la même taille. L’émaciation est un signe de dénutrition actuelle ou due au fait que l’enfant ne se couche pas ou qui se couche. Les causes sont multiples : mauvaise alimentation, mauvaises habitudes alimentaires, maladies et infections, une combinaison de ces facteurs. Il n’y a pas d’estimation que 47,5% des enfants âgés de 6 à 59 ans souffrent d’anémie (50,8% en milieu urbain et 43,1% en milieu rural), 23,5% ont un rythme cardiaque, 8,8% constatent un sevrage de vitamine D et 8% de sevrage de vitamine D. Pour ceux qui ont des enfants de 6 à 12 ans, 5,4% sont obsédés (8% en milieu urbain contre 2,1% en milieu rural) et 13% sont surpoids.

Notons que 11,3 % ont un retard de croissance et 2,9 % évitent d’émaciation. L’anémie touche 23,8% des enfants âgés de 6 à 12 ans. Il signale également que 11,9 % ont un rythme cardiaque, 10,9 % une dose de vitamine A, 3,1 % une dose de vitamine D et 21,6 % une dose d’iode. Rappelons que selon l’OMS, l’obésité est une maladie qui a des répercussions sur la plupart des systèmes de l’organisme.

Elle touche la peau, le foie, le renne, les articulations et l’appareil haut-parleur. Elle fait partie d’une série de jeunes non transmissibles, ceux atteints de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires, d’hypertension et d’accidents vasculaires cérébraux, de diverses formes de cancer, de certains problèmes de santé mentale.





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