une curiosité phénoménale parmi les trois jeunes enfants


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    Dentistes, noirscies, pantalons… Certains bébés, accoutumés trop tôt au sucre, voient leur dentition na détruite, au grand désarroi des professionalis de sante. On surnomme les « babies coca ».

    Dans les Hauts-de-France, nombre d’enfants de moins de 6 ans, voire plus jeunes, risquent de caries. La raison? Il se nourrissent principalement de boissons sucrées, de type Coca-cola, Oasis et autres Ice-tea.

    Vous vous fichez de ce que font les « racines »

    Les parents, qui sont en grande précaution sociale, n’ont pas la conscience des faits de ces boissons ultra-secrètes. C’est ce que Virginia Menvielle, journaliste, a dit d’être la part du lion des médias.

    Ils sont interrogés, certains d’entre eux sont des professionnels de la métropole européenne de Lille, ils ont les bases des sodas sur les trois jeunes enfants des Hauts-de-France.

    « Nous sommes accompagnés de parents en grande précaution sociale, qui ne se connaissent pas parfois sans lecture. Je veux bien faire et ne pas avoir conscience de vouloir dépenser de l’argent pour les enfants.», selon Stéphanie Leclerc, responsable du petit infini de la métropole lilloise dans son département du service public pour soutenir, accompagner, éduquer (EPDSAE) de Lille.

    Du chalet, la dentiste Angelina Leblanc, qui à Roubaix et soutenu, en 2020, une thèse au CHU de Lille sur les caries enregistrées dans la métropole lilloise explicite »que l’on parle de caries précoces quand elles sont offertes chez des enfants de moins de six ans« .

    Une consultation très tropicale

    Dans certains cas, ces ravages dentaires se manifestent bien avant.

    « Nous avons parfois des patients de celui qui n’a pas la possibilité de le faire, tous. Ils se fichent de ce que d’autres racines et nous devons trouver une autre solution qui sera extraite.», At-elle ajouté.

    En effet, si les familles « aisées » ont davantage tendance à consulter, ce n’est pas demandé le cas des parents de milieux défavorisés, faute d’information, etc.

    Pour contrer ce phénomène, parents et professionnels de santé sont distributeurs de dépliants de prévention. Mesurer l’efficacité plus elon? Entrez dans le secret des patrons avec des enfants de moins de 6 ans, et/ou appliquez une étiquette jetable sur les sodas, à la pose du logo « interdit aux femmes enceintes ».

    Hors des sodas, les jus de fruits industriels – enfin trop sucrés – valent prospérer.

    PAS de régimes, OUI to WW !

    Consommation succulente : limites en sucre

    Les enfants ne peuvent pas consommer de sucre. C’est un endroit qui est très important.

    Effectivement, tous les petits imitent l’imitation : la meilleure aide pour ceux qui consomment des sucreries est de ne pas manger de soja et de ne pas passer les produits secrets en libre service à la maison.

    Aider, utiliser le sucre pour consoler, rembourser ou faire du malade son enfant n’est pas forcer une bonne idée.

    En contrepartie, aller à la rencontre des jeunes pour connaître les quantités de sucre présentes dans les aliments, et faire attention à leur assiduité, est une excellente initiative (associer la teneur en sucre avec du ketchup ou une bouteille de soda, par exemple), le tout d’ailleurs des cuisines de cuisine, pour réduire la quantité de sucre dans les recettes de plats (pour le dessert et un sucre très doux).

    Cette éducation est sur le point d’être informative et folle.



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