Une ergothérapeute et une diététicienne s’installent sur le territoire du Mont des Avaloirs


Signature des baux de location pour finaliser l'installation de Julie Ogé (à gauche) et d'Hélène Delamare (à droite).
Signature des baux de location pour finaliser l’installation de Julie Ogé (à gauche) et d’Hélène Delamare (à droite). (©CDLM)

Julie Ogé, ergothérapeute libérale a rejoint la maison médicale de santé de Pré-en-Pail-Saint-Samsonfin décembre 2022. Hélène Delamare, diététiciennes’installe quant à elle, à partir du 1euh janvier 2023 à Villaines la Juheldans les locaux de la maison de santé multisites pluriprofessionnels.

Un travailable au Québec

Originaire de la commune du Ham, Julie Ogé a travaillé au Québec :

L’ergothérapie se développe au Canada car la recherche est plus avancée qu’en France actuellement et j’ai beaucoup appris.

Julie OgéErgothérapeutes

Après douze années de pratique, la professionnelle a choisi Pré-en-Pail-Saint-Samson, une commune située sur un territoire où il existe une demande réelle qui va du sud de l’Orne au nord de la Mayenne.

De plus, le pôle santé permet d’être en contact avec d’autres professionnels, ce qui apporte des dynamiques et des complémentarités.

Julie Ogé

Une mère de famille du canton qui cherche un ergothérapeute depuis plusieurs mois se dit « très heureuse d’avoir un rendez-vous rapide et de proximité pour notre enfant qui va bénéficier d’un suivi régulier avec Madame Ogé. »

Salariée à 40 % et libérale à 60 %

De son côté, Hélène Delamare, qui habite la commune de Saint-Germain-de-Coulamer, est diététicienne diplômée depuis 2019.

La professionnelle gardera une activité salariée à 40 % dans deux Ehpad de la région et une activité libérale à 60 % à Villaines-la-Juhel.

C’est le remplacement d’une diététicienne libérale qui m’a incitée à venir m’installer dans un espace où l’on ne travaille pas seule.

Hélène Delamare Diététicienne

Spécialiste de la nutrition, la mission de la diététicienne s’avère souvent utile pour décoder les habitements alimentaires, corriger ou adapter l’alimentation dans un objectif de conservation ou de retour à la santé.

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Elle permet d’éduquer ou de rééduquer, sur le plan nutritionnel, des patients atteints de troubles du métabolisme ou de l’alimentation.

Diane Rouland, présidente de la communauté de communes du Mont des Avaloirs, et Jean François Sallard, conseiller départemental et coordinateur MSP (maison de santé pluriprofessionnelle), saluent ces deux installations qui démontrent tout l’intérêt d’un collectif qui favorise une meilleure prise en charge du patient « avec la communauté professionnelle territoriale de santé du nord-est Mayenne par exemple qui coordonne les acteurs de la santé ».

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