Un client de Méga Fitness Gym est bel et bien mort du COVID


Étienne Desrochers-Jean, client du Méga Gym de Québec où une eclosion monstre est survenue quelques jours avant sa mort, est bel et bien décédé de la COVID-19, bien qu’on ne puisse établir avec certitude l’endroit de son infection.

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« Les éléments d’investissement dans le parcours d’investissement qui ont établi l’infection à la COVID-19 comme cause de décès », a conclu le coroner José Bédard dans son rapport diffusé mercredi matin.

L’home de 40 ans avait obtenu un résultat positif au coronavirus le 31 mars 2021, mais son état de santé s’est rapidement détérioré. D’après Me Bédard, M. Desrochers-Jean avait de la difficulté à respirer, de la toux persistante, des maux de tête importants, des étourdissements et d’insomnie.

L’ambulance a été transportée à la clinique externe de l’Université de cardiologie et de pneumologie du Québec (IUCPQ) le 3 avril, et il a pu constater une pneumonie à la COVID-19. Il est de retour dans sa vie avec une prescription de Zopiclone, pour l’aide au sommeil.

Finalement, cette retraite a été récupérée après un arrêt cardio-respiratoire dans le sud-est de la résidence familiale, deux jours plus tard. L’autopsie a également établi le fait qu’un jeune athlète coronarien souffrait d’une grave maladie athéroscléreuse.

Rappelons, qui dans les jours précédant la mort d’Etienne Desrochers-Jean, une explosion de monstres de 400 personnes ont pris ce rassemblement au Méga Gym de Québec.

L’établissement a ouvert cette ferme pour la première fois depuis la Santé Publique le 28 mars 2021, pour une désinfection totale de fin. Puis, une seconde de trois jours plus tard, après les « lacunes importantes » dans les mesures sanitaires, voilà ces constats.

Soit, le quadrilatère de cette ouverture en moins d’un jour avant la fermentation. C’est la dernière chose à faire au moment de l’explosion qui sera décidée le 30 mars.

Le coroner au dossier n’est toutefois pas en mesure de confirmer le lieu où M. Desrochers-Jean a contracté le virus, « dans le contexte où il était omniprésent en mars 2021 ».

« Il est impossible de confirmer qu’il est impossible de confirmer la source de l’infection au COVID-19. Eh bien, les hypothèses peuvent être trouvées dans le futur […]je ne dispose d’aucune preuve épidémiologique en ce sens », a indiqué Me Bédard.

Le Bureau du coroner refuse de payer les dommages à l’IUCPQ dans cette affaire. Le dossier médical de la victime indique qu’elle avait obtenu deux évaluations et qu’elle se sentait prête à retourner à domicile.

Il n’y a pas de tachycardie, d’hypotension artérielle, de problème de saturation en oxygène, de respiration difficile ou d’objection de conscience.

« Suivant l’ensemble des informations médicales collégiale, tout porte à croire qu’il était raisonnable qu’il obtienne son congé, et ce, sans indication d’une hospitalisation », affirme la coroner Josée Bédard.



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