L’huile d’olive protège aussi les femmes enceintes et les fœtus


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    Si l’huile d’olive est réputée pour ses vertus cardiovasculaires, elle serait aussi bénéfique durant la grossesse selon des chercheurs.

    L’huile d’olive cumule les bienfaits. Riche en oméga 9 et en antioxydants, elle aide à prévenir de nombreuses maladies cardiovasculaires et inflammatoires. Mais elle serait aussi bénéfique pour les femmes enceintes et des fœtus. C’est du moins ce qui ressort d’une nouvelle étude scientifique, parue dans la revue Nutrition Research.

    Huile d’olive : moins de risques de diabète gestationnel

    Dans le cadre de cette enquête, les scientifiques ont travaillé sur 6 études basées sur des expériences contrôlées et 3 recherches observationelles. Ces dernières réunissaient entre 30 et plus de 35 530 femmes enceintes.

    Selon l’analyse des données nécessaires, les chercheurs ont montré que l’huile d’olive – notamment celle virge extra – réduiraient les complications pendant la grossesse.

    Les risques de prééclampsie (une maladie de la grossesse qui associe hypertension et protéines dans les urines) et de diabète gestationnel semblaient ainsi moins importants chez les femmes enceintes qui en consommaient.

    Ces effets s’expliquaient par les polyfénols contenus dans l’huile d’olive, qui augmentaient la sensibilité à l’insuline (une hormone qui permet de maintenir le taux de sucre dans le sang à des niveaux normaux).

    Enfin, les antioxydants de l’huile permettriaient de réduire les risques de pré-éclampsie.

    L’huile d’olive est aussi beneficiar pour les nourrissons

    Toujours d’après l’étude, l’huile d’olive permet de lutter contre les problèmes de mensuration des nourrissons (bébés trop grands ou trop petits).

    « Notre revue systémagique suggère que la consommation d’huile d’olive peut conférer des effets protecteurs sur l’issue de la grossesse, notamment en réduisant le risque de nourrissons petits ou grands, de diabète gestationnel, de prééclampsie et de risque cardiovasculaire maternel. »concluant les auteurs de l’étude.

    Néanmoins, ils admettent que « davantage d’études portant sur l’impact de la consommation d’huile d’olive sur la diminution de la possibilité d’effets d’éfès d’éfètres materno-fœtaux sont encore nécessaires« .




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