le rôle d’ambassadeur des réseaux sociaux


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    Les droits sociaux fournissent un idéal d’argent, qui peut contribuer au développement de problèmes alimentaires liés à l’anorexie mentale. L’aide permanente des communautés du monde, avec le risque de « tomber malade des jeunes » dans cette pathologie.

    Le phénomène n’est pas nouveau : les blogs en faveur de l’anorexie (« pro ana ») ou pour la boulimie« pro-mia ») est connu pour être membre du Debut of the Years 2010. Cette année-là, il a été soutenu par les membres les plus importants de l’actualité sur les questions sociales, pertinentes pour les spécialistes, dans le cas de la Coupe du monde TCA, en raison de l’actualité problèmes aura lieu le 2 juin.

    La forêt « défis » sont les derniers développements sur TikTok ou Instagram, la partie la plus importante des jeux pour les autres. Comme un baiser de « la feuille A4 » : pour gagner, leur tour de taille ne doit mesurer que 21 centimètres, soit la largeur d’une feuille A4. On n’y arrive qu’en se privé durablement de nourriture.

    Les résultats sont basés sur le nombre de comptes millionnaires et peuvent créer des complexes pour les adolescents.

    Pour Valentin Flaudias, maître de conférences en psychologie clinique à l’université de Nantes, l’engagement de plus de jeunes dans ces témoignages de personnalités, en bonne santé et sportives, était de la partie « message envoyé à l’entreprise ».

    Le risque de « redressement » des comptes

    « La lutte contre l’obésité et l’appel à l’activité physique accentuent la tendance à se retourner contre les comptes qui correspondent à l’idéal de l’argent »dit-il à l’AFP, rappelant les déclarations alarmantes de l’OMS en mai sur une « épidémie liée à l’obésité » en Europe.

    « La question esthétique »omniprésente sur les réseaux qui font la part belle aux photos avec filtres et retouches, a également une incidence sur les personnes souffrant déjà de TCA, avance Nathalie Godart, pédopsychiatre et présidente de la Fédération française française anorexie boulimie (F).

    L’anorexie mentale est un fruit « facteurs positifs »rappelle-t-elle. « Je n’ai vraiment pas envie de me résumer à des problèmes de société »bien qu’ils puissent être un « fakteur à l’origine du mal-être et de la mésestime de soi ».

    Outre ces aspects, de jeunes femmes âgées de 15 à 25 ans utilisent désormais en moyenne les réseaux pour partager leur hospitalisation et l’évolution de leur rapport à la maladie en accordant des comptes « récupération » (guérison).

    Il est très important d’entrer dans la communauté entre les patients pour tout le monde. « C’est une bonne chose, mais cela comporte des risques »rencontré en garde M. Flaudias. « L’anorexie est un problème par rapport aux autres, et il faut prendre beaucoup de risques pour se définir comme un jeune homme et un enfant d’infirmité. ».

    Soyez concentré sur votre corps

    Au contraire, l’écrivain note qu’il est membre du mouvement « positivisme corporel » (le fait d’aimer son corps). « C’est toujours mieux que le mouvement pro-ana, mais ces comptes se focalisent encore une fois sur le corps. Alors que pour guérir de l’anorexie, il faut s’en détacher »relève-t-il.

    Nathalie Godart est quant à elle que ces comptes, parfois tournés vers « coaching alimentaire »entraînent un « invitation à la retraite » par l’alimentation.

    Du coup, certains patients ont l’impression de guérir mais ils peuvent développer un trouble voisin, l’orthorexie, ou l’obsession de manger sain. Ils se détachent alors de leur poids – d’où la différence avec l’anorexie – mais ils contrôlent de manière excessive ce qu’ils mangent, avec des conséquences sur leur vie sociale.

    Pauline Drecq, psychologue à Paris, a participé en 2019 à la création, à l’hôpital de l’époque, d’un atelier de collecte basé sur l’expérience de patients dans la recherche. Ces jeunes attendent des problèmes alimentaires « consultez les réponses dans votre chambre, quand vous êtes seul, parfois dans les moments d’anxiété ». Durant les ateliers, ses commentaires « une publication sur Instagram ou une vidéo YouTube » et analyser les effets positifs et négatifs sur la santé mentale.

    Toutefois, la différence de contenu diffère « selon le patient, et le stade de sa maladie », relève la psychologue. Un récit culinaire « peut donner des perspectives de guérison à un patient, et augmenter les restrictions d’alimentation chez un autre ».

    Loin de diaboliser les réseaux sociaux, l’objectif est de faire prendre conscience aux malades de l’impact qu’ils peuvent avoir sur leur trouble, « afin que leur usage se tourne vers le soin »dit Mme Drecq.




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