Le Premier Ministre, le Directeur de Cabinet, M. Ouhoumoudou Mahamadou, et le Président, qui, à Niamey, ont tenu la cérémonie de lancement du projet « Lahiya Iyali » qui signifie le « bien-être de la famille ». Un projet de la Banque mondiale, qui est une voie globale « d’amélioration de l’accès des femmes et des filles au service de la santé et de la nutrition ». La cérémonie s’est déroulée en présence de la Vice-Présidente de la Banque Mondiale pour le Développement du Capital Humain, Mme Mamta Murthi, Ministre du Plan, M. Abdou Rabiou, Ministre de la Santé Publique, de la Population et des Affaires Sociales, M. Illiassou Idi Mainassara, ainsi que de plusieurs invités dont les régionaux de maregionales de Maradi et Zinder.
Pour le Premier ministre Ouhoumoudou Mahamadou, le lancement du projet est la manifestation d’une coopération et d’un appui fructueux entre le Niger et la Banque mondiale, matérialisé par des accords de financement supplémentaires dans divers secteurs de la santé et de la nutrition. En effet, le projet « Lafia Iyali » est un projet novateur qui reprendra les engagements du Président de la République, Chef de Cabinet, SE Mohamed Bazoum, contenus dans le Programme de la Renaissance Acte III. « Le développement du capital humain constitue l’un des axes majeurs de la Déclaration de Politique Générale du Gouvernement, document qui fixe les grandes priorités de l’action du gouverneur pour la période 2021-2026 », a déclaré le directeur de cabinet.
Le Premier Ministre sera attentif à la mise en œuvre de la Gouvernance pour la promotion des actions d’amélioration de l’accès et de la qualité des services d’assainissement, de construction et de réhabilitation des infrastructures sanitaires, et d’amélioration de la disponibilité et de la disponibilité des produits sanitaires. « Dans ce cadre, nous avons d’abord revendiqué le sanctuaire de la reproduction, et l’état de sanctuaire de la mer et de l’enfant. Il est important de réduire la mortalité matérielle et infantile, de réduire la charge nutritionnelle et les activités de prévention dans le domaine de la nutrition. Il ne fait pas de doute que le Niger a réalisé des remèrquables, ces dernières années, en matièe de rédukço de l’infanto-juvénile en mettant un accent sur la prévention et la mortalité. C’est à nous d’avoir le temps de garer pendant la durée de l’horizon 2030 les objets de développement. nés, enfants, adolescents et femmes », a déclaré le Chef du Gouvernement.
Le Premier ministre annoncera également l’annonce des actions que le Gouvernement mènera de manière à mettre en relation le niveau de couverture sanitaire et les résultats des soins de santé et particuliers pour les femmes, les filles, les nouveaux arrivants, les enfants et les adolescents. L’agit, at-il explicite, de travailler à sensibiliser les cibles sur la santé maternelle, les bienfaits du planning familial, les conséquences fâcheuses des mutilations génitales génitales féminines, les mariages précoces avec leurs lots de grossesses précotes, de poing après un certain temps, entre autres.
« Cette stratégie sera jumelée à la scolarisation des filles, la reconquête de la santé reproductive et de la santé maternelle et de la garde d’enfants pour traverser une communication entre les différents services de soins de santé. Encourager la synergie entre le gouvernement, les chefs traditionnels et les chefs religieux pour mettre en place de belles pratiques qui ne sont pas affectées par un impact négatif sur la santé de la population. En particulier, nous continuons à poursuivre nos actions contre les arts martiaux forts, la capacité d’étudier et de lutter pour l’argent du jeune homme, ainsi que le temps long à l’école. Ce sont les facteurs les plus importants qui scellent l’autonomie des femmes et des filles, et qui contribuent à la santé des femmes et des adolescentes », a expliqué le Chef du Gouvernement.
M. Ouhoumoudou Mahamadou a également indiqué que le Niger dispose de plusieurs politiques et stratégies qui doivent notamment favoriser la promotion du genre, l’autonomisation des femmes et des filles et la promotion de la santé et qui sont des moyens pour permettre de réaliser des liens qualitatifs dans le développement du capital humain.
Pour sa part, la vice-présidente de la Banque mondiale, Mme Mamta Murthi, a indiqué qu’il avait l’opportunité de rémunérer l’engagement et la disponibilité de son institution pour soutenir sa contribution au Niger. Elle s’intéresse également à l’accent mis sur l’insuffisance de la formation du personnel de qualité, de la notation des professionnels de santé (médecins, éducateurs et paramédicaux), mais aussi de la lutte contre les pratiques moindres dans le domaine de la santé, dont mariage précoce. «Le Conseil d’administration de la Banque mondiale à approuver, en septembre dernier, un nouveau financement d’un montant total de 125 millions de dollars, d’une valeur de 70 milliards de francs CFA, visitant l’extension de l’offre de services de santé pour améliorer la qualité des femmes et des enfants avec amélioration des résultats en matière de santé et de nutrition autre que l’autonomie des filles et des femmes », at-elle rappelé.
Selon Mme Mamta Murthi, ce programme vise à mettre en œuvre, sur une période de 15 ans, des interventions innovantes et complètes en matière de nutrition et de santé, afin d’améliorer l’efficacité, l’équité et la durabilité du sistème de santé, tous en faveur de l’autonomie des femmes et des filles. L’objectif de cette application est de donner la priorité au développement et au renforcement du capital humain en plus de la reconquête des services de santé dans les régions plus pauvres, tous adaptables à un contexte fragile.
La suite, le Ministère de la Santé Publique, de la Population et des Affaires Sociales, s’est tenue à une présentation réussie du projet Lahiya Iyali.
Ali Maman (onep) et Rachida Abdou Ibrahim (Stagiaire)