L’enfant jouit naturellement du pouvoir d’autorégulation, qui est le premier ministre de ma vie, avec une préférence pour les grâces et le sucre, une aversion pour l’amour et l’acidité, et une autorisation de la quantité consommée. Durant sa 2e année de vie cependant, son comportement commence à être modifié avec l’apparition de la néophobie et de la sélectivité alimentaire et pour certains un désintérêt pour l’alimentation (petit appétit). Or, la délicatesse de cette autorisation est une combinaison de contre-indications et de pratiques éducatives importantes pour les parents et qui conduisent à des mécanismes de conduite qui n’ont pas à être caractérisés par plus difficile. Une session des Entrepreneurs de la Nutrition qui seront à Lille les 2 et 3 juin 2022, déclareront leurs faveurs préférées ou la non-diversification.
Ainsi, les extrêmes des parents sont plutôt supprimés : d’une part, ceux qui sont trop permissifs (choisir les aliments qui plaisent à l’enfant, ajouter du ketchup dans les légumineuses, permettre aux aliment récompenses…), chances En termes de nouveaux aliments, on dit que 8 expositions sur 10 peuvent être utilisées pour ceux qui sont enfin prêts à recevoir un enfant. Inverser, une force autoritaire très tropicale (forcer l’enfant, psalmodier) cr pour créer une tension émotionnelle que l’enfant associe à la nourriture, pour rajeunir l’enfant.
L’aspect contre-produit des messages de santé publique
Différentes expérimentations sur l’effet des messages contre-productifs des messages liés à la santé, les enfants étant très intéressés par l’idée qu’aliment bon bon la santé est moov savoureux que les autres. Ceci a par exemple été démontré en comparant la différence d’appréciation d’une même boisson par un groupe d’enfants selon qu’elle était ou non etiquéée bonne pour la santé : en moyenne, les enfants qualifiés que celles sans ellegation étaient meilleures que les enfants ont entre 9-11 ans et entre 3-5 ans.
D’autres expertises montrent également que les personnes généralement valorisées contiennent généreusement de l’énergie dans un régime hyperénergétique (type hamburger). , mangez des fruits et légumes…), la compensation ‘saine’ de compensation qui leur est apporée deculpabilisant le participant dans son envie de consommer.
Un ensemble d’appréciations (fiches recettes, fiches aliments, blog, forum…) auteur d’une alimentation saine sans aucun message de ce type, privilégiant au contraire l’aspect du plaisir (approche hédonique) favorisant efficacement la consommation de fruits et légumineuses .
Enfin, à l’échelon individuel, lorsqu’on a rencontré un groupe d’enfants face à une offre pléthorique sans supervision adulte, on observe que ceux qui consomment le plus d’aliments « interdits » sont les filles dont les mères se préoccupent le plus du minceur et qui contrôle la composition de l’alimentation de l’enfant.
Quelles solutions ?
Les pratiques de pression, de restriction ou de distraction rendent le compartiment des enfants dépendant des stimuli de l’environnement flottant à la lèpre des sensations. Le faux préserve donc leurs capacités à autoriser en limitant les hypersollications, en limitant la taille des portions, le contenu des pancartes, éviter les compensations alimentaires ou de confort. Il ne faut stigmatiser aucun aliment, ne pas parler du poids, mais les aider à se concentrer et plus largement sur leurs sensations. D’autre part, il vous recommande de flotter pour stimuler le placement des aliments, exposer la réputation de répétition sans rajeunissement au 1euh2e ou 3erefuser, préparer l’enfant à la préparation, privilégier une ambiance ambiante et un climat chaud sans distraction au moment de la répulsion, et fixer des règles simples (à améliorer systématiquement), sans coercition, et impliquer les parents. . Les travaux sur la base desquels la majorité des couples ont une perception consensuelle de la pension alimentaire, les enfants en plus du soutien des compliments des autorités ou des autorités à rendre compte au fond. La convivialité et la socialisation sont des vecteurs facilitant l’acceptation de la diversité alimentaire, par mimétisme.