Derrière les »seúances brüle-graisse» des influenceuses fitness, les risques de troubles alimentaires


Dès que tout le monde dans le monde rencontre le confinement de mars 2020, Chloé* fait une remise de sport pour passer le temps. « J’ai envie de dire qu’il faut être malade, mais pour être au top quand on veut se ressourcer », a déclaré la jeune femme de 24 ans. Elle n’est pas une « livre dans le trop », elle a un beau flotteur, mais elle veut « être la meilleure version de son nom ».

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Chloé a décidé de suivre le programme dans la lignée d’une des influences du fitness de la franchise française, plus les motifs d’une vidéo du jour. « Nous n’avons pas de matériel, juste des bouteilles d’eau en guise de poids, éventuellement une tapisserie, et notre téléphone pour votre session en direct. « Des séances de 45 minutes à une journée, une des recommandations » fit « recommandées pour accélérer le processus. Evidemment, les résultats sont rapides : en deux mois, la jeune femme a perdu six kilos.

Les affaires sont les affaires

Et elle n’est pas à la hauteur. « Je t’aime davantage. » Être plus célèbre, sentir le tapage, perdre le centimètre de grâce que j’ai sur les cuisines. » Deux ans plus tard, Chloé se bat avec des troubles du comortement alimentaire (TCA) : boulimie, dysmorphophobie, orthorexie. « Je pense que vous vivez mieux que vous dans les nouvelles sculptures corporelles pour le sport, et je veux pouvoir apprendre un peu mieux. » « Parfois, sur des questions de société, les jeunes femmes ont le slogan pour dénoncer les effets du fitness, qui prône la « culture du régime » (« culture du régime ») : elles sont certaines dans les TCA, à force de discours calpabilisateurs et de vidéo H « HIIT anti-calories », « séance brûle-graisse » et autres « spécial élimination de la culotte de cheval ».

Il y a deux ans, à la faveur de confinements réussis, les « lives » Instagram et les programmes sportifs en direct sont nombreux face à face sur le marché disponible : les millions de femmes qui souffrent de problèmes complexes avec eux, passant leurs journaux pour faire défiler leurs expériences . Certains « coachs » figurent sur la liste des abonnés gratuits aux vidéos gratuites, et proposent des programmes et applications gratuits. « Ces influenceuses sont en avance sur toutes les femmes d’affaires qui peuvent commenter les clients, l’analyse de Marie Fournier, la diététique et la psychologie, les spécialistes des problèmes de pension alimentaire et les enfants. Pour vendre nos programmes, ou nos applications en ligne, ils utilisent les touches qui jouent sur nos complexes, fabriqués par le culte du minceur, et entretiennent le mythe avec un certain type d’activité physique et un régime alimentaire strict toutes règles. »

Axés sur le cardio, ces « coachs » sont les meilleurs diplômés du futur : plus il peut profiter de la séance, plus il « dégouline » de son cœur, plus c’est efficace. Et plus l’objectif premier, qui est évidemment de perdre du poids, sera rapidement atteint. C’est un fait : non, transpirer plus ne fait pas maigrir plus vite, et il n’est pas possible de cibler un endroit particulier pour une perte de gras. Si le cardio c’est depuis longtemps, c’est l’apprentissage des femmes, c’est une grande partie du marketing des salles de sport premier qui est destiné à attirer des clients, des reboots pour des machines, comme l’explique Marie-Anne Teissier, collectrice de fonds de Néoness, dans un article sur le sujet. La musculature, plus le cardio, c’est un choix de foies plus l’efficacité pour les cheveux longs. « Le problème, c’est que dans notre société, notre approche première du sport est possible sans volonté de maigrir, seulement Marie Fournier. Or, à voir le sport comme un contre, un passage obligé pour pouvoir enfiler le maillot du bain, il n’est pas possible de purée pour le développement du TCA. »

« J’ai un avocat, j’ai un avocat »

Impressions de la « culture diététique » et du culte de la menthe qui est la nôtre plus un jeune homme, nous sommes formatés à penser que le sport est bon pour nous. Il est effectivement important d’avoir une activité physique pour être en bonne santé, comme dans tous vos domaines, la nuit est finie. « Le TCA dans le sport, c’est un tabou, note Marie Fournier. Si le corps paraissent rayonner de santé, et que TCA (comme la boulimie) cert ne sont pas visibles, on peut peiner à les repérer. Pourtant, qu’on se lance dans une activité physique intensive sans être accompagnée, on peut tomber rapidement dans un engrenage dont il est difficile de se sortir. » Il existe plusieurs types de sports d’anorexie dans le sport de haut niveau, l’anorexie sportive.

« Il sera défini par une personne consciencieuse dans un niveau de performance, un processus global de planification de l’entraînement, détaille le site d’ANESTAPS, qui sensibilise le grand public et les professionnels du sport à ces questions. Les corps sont instrumentaux et peuvent être considérés dans les disciplines sportives. « C’est le principe de la fameuse « recherche » : en attendant peu de temps, les sportifs menant un régime très strict, réduisant les portions et évitant toutes sources de lipides, pour perdre du poids avant une compétition (dans les finances des performances ou de l’esthétisme). Cette méthode est destinée à être influencée par le sculpteur devant le sculpteur, pour éviter l’utilisation de la devise « régime » – lorsqu’il est possible qu’il ne le fasse pas. Pour Chloé, vous êtes tous très malins : les saisons de sport sont tellement parmi les plus longues et les plus intenses et intenses, il est plus important de calculer les calories en une seule application ou de ne pas mentionner tout ce que vous ratez. « J’ai drastiquement réduit les problèmes, glucides et gras. J’ai un avocat, j’ai un avocat… »

Sur le réseau social, l’effet d’une bouteille de neige

Ses menus sont prévus à l’avance, et largement inspirés de posts Instagram et de vidéos YouTube du type « Ce que je mange dans la journée », très populaires dans le milieu de influenceurs fitness et bien-être. Elle en suit une première, puis une autre, et rapidement, son « feed » Instagram ne contient plus que des corps de rêve et les repas supposés permettant d’atteindre cet idéal. L’algorithme de la demande d’aide, c’est facile de se replier sur les malades dans ce qu’il appelle une « bulle des réseaux sociaux », c’est pour diriger une « boule de problèmes sociaux » qui s’auto-alimente et on ne croit pas que ces représentations sont réels. Chloé, en tant que femme millionnaire à la hauteur de son programme d’influence préféré, se retire d’un groupe Facebook. Les adhérents et partenaires des photos de « transformations » physiques pour motiver ceux qui sont « trop ​​gros pour participer à une séance du jour », et le contenu de leurs assistants, assortis d’assortiments de questions du genre : « Faut-il que je réduise » ma portion de riz ? »

« Les premiers conseils consensuels qui permettent aux femmes de profiter des programmes en ligne, la partie qui ne relève pas du foie, c’est aussi une source de discours pour la personne qui vend le programme, recommande Marie Fournier. Est-elle coach diplômée ? Diabolise-t-elle une catégorie d’aliment ? Emploie-t-elle des termes culpabilisateurs, comme « cheat meal » ou « summer body » ? »Alertes authentiques qui nous avertissent de faire. Veiller à ses abonnements Instagram est également disponible, dans l’époque ou sur les dernières heures plus de la journée, primordiale. En suivant la nouvelle vague de fitness girls par exemple, comme @ Alohalaïa, coach sportive diplômée qui promeut davantage de bienveillance et d’écoute de soi dans son approche du sport. Et lorsque l’on a envoyé que l’on perd pied, il ne faut pas hésiter à en parler, rappelle l’experte. « C’est le premier signe d’alarme, car le fait que le journal soit dirigé est la bonne chose à faire le matin, qu’il peut être trop calculé, que tout ce que la gale est calculé, il y a un risque de tomber dans un difficile à défaire. »



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