À Pau, MealSport Nutrition c’est une boutique pour les musclés, mais pas que…


Originaire de région parisienne, Nicolas Viganne a toujours baigné dans le sport. « Mon père était très sportif. Il adorait ça. C’était un excellent compétiteur, mais il n’aimait pas la compétition ! Je pense que c’est de là que je suis aussi tombé amoureux du sport pour ce que cela représente, ce que cela dégage, et les rencontres qu’on peut y faire », commence celui qui voulait faire de la boxe, mais qui, sur les conseils forcés de sa maman qui s’inquiétait pour son fils, s’est finalement tourné vers la musculation, très jeune. « J’avais 13 ans, et ça ne m’a plus jamais quitté ! ».

Malgré une vie professionnelle très diversifiée, c’est dans le sport que Nicolas Viganne s’épanuit le plus. Cela explique pourquoi dès qu’une opportunité pour ouvrir une boutique de compléments alimentaires s’est fournie à lui, il s’est jeté sur l’occasion. « C’est vraiment le fruit du hasard. On m’a proposé un local à Pau, puis j’avais repris contact avec des fournisseurs de produits que je connaissais depuis pas mal de temps. C’était le bon moment, je me suis dit que si je ne saisissais pas ma chance maintenant, j’allais le regretter ».

C’est donc seul qu’il fait tourner MealSport Nutrition depuis le 17 octobre dernier. « Avant cette date, j’ouvrais uniques les samedis durant le mois d’août puisque je travaillais encore ». Dans cet espace rue Duboué, il propose des produits principalement destinés aux personnes qui vont à la salle de sport, mais pas que. « Ce sont des compléments alimentaires, donc c’est destiné plus ou moins à tout le monde. Je propose des vitamines, des produits qui calment les douleurs, qui améliorent les performances, la concentration, des relaxants, des compléments pour les personnes qui font des régimes, etc. ». Des gammes végétaliennes et sans lactose sont également disponibles.

Ce n’est que le début, mais j’adore.

« Ce n’est que le début, mais j’adore. Les gens qui viennent savent pourquoi viennent ils, ils ne rentrent pas dans la boutique curiosité par comme ça peut être le cas avec le prêt-à-porter par exemple. Alors il discute, il échange, je les conseille en fonction de leurs besoins, de ce qu’ils veulent, etc. L’important c’est qu’ils sachent ce qu’ils achètent, et comment bien l’utiliser pour que ce soit efficace et que cela réponde à leur demande ».



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